Face aux tendances d’évolution du marché de la plaisance en forte mutation, l'association Normandie Maritime a lancé en 2018 une étude sur le port du futur. Objectif : travailler sur des pistes de réflexion à destination des ports de plaisance normands dont le business model change radicalement.

L'éude, confiée au cabinet Wiinch, s'est notamment appuyée sur un atelier de travail le 6 février au Club Nautique de Honfleur pour creuser les thématiques suivantes :

• Quels sont ces potentiels plaisanciers qui passent en grand nombre le permis bateau et que l'industrie nautique peine à transformer en clients ?


• Quels partenariats nouer avec les plateformes de mise en relation entre particuliers et les boat-clubs, transformant les ports de plaisance en market-places ?


• Jusqu'où doivent aller les ports de plaisance dans la diversification de leurs offres de services, qui pourrait, par exemple, les amener à devenir des hôteliers ?

Au final, suite aux préconisations de l'étude, une matrice de travail a été élaborée. Deux ports de plaisance ont opté pour un déploiement de cette matrice à leurs infrastructures dès septembre : Port Chantereyne et Caen-Ouistreham. D'autres ports de plaisance normands pourraient suivre en 2020. 

Consulter l'étude

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Ressources complémentaires

Une réflexion qui rejoint en grande partie les échanges qui ont eu lieu à l'occasion du Nautic Hackathon les 14 et 15 décembre au Salon Nautique de Paris, dont le jury était présidé par Michel Desjoyeaux. Thème de cette première édition : "à quoi ressemblera votre base de loisirs nautiques en 2030 ?".

⇒ Consulter le livret récapitulatif de l'événement

⇒ Lire également notre article "Les marketplaces : l'avenir des ports de plaisance ?"